Ce texte a été traduit automatiquement, elle peut contenir des erreurs ou des inexactitudes.
Moyen-Orient
Favorite
Remove from my list

L'Iran veut mettre fin au conflit avec Israël, selon le Wall Street Journal américain

Il y a une condition importante que Téhéran a mise sur la table : que Washington ne se joigne pas activement aux attaques israéliennes.

TEHRAN (IRAN(Islamic Republic Of)), 16/06/2025.- Residential buildings and the city's skyline in Tehran, Iran, 16 June 2025. Israel and Iran have been exchanging fire since Israel launched strikes across Iran on 13 June 2025 as part of Operation 'Rising Lion.' (Teherán) EFE/EPA/ABEDIN TAHERKENAREH
Téhéran, capitale de l'Iran. Photo : EFE

L'Iran a annoncé par l'intermédiaire des pays arabes son intention de mettre fin au conflit avec Israëlaprès quatre jours d' attaques et de revenir à la table des négociations sur son programme nucléaire, selon le Wall Street Journal .

Le destinataire final de ce message, avec la volonté de négocier, est double : Israël et les États-Unis.

En effet, la rhétorique iranienne a répété ces derniers jours qu'elle considérait Washington comme un « complice » des attaques.

Des sources arabes ont souligné que la réduction des attaques, les pires depuis des décennies, pourrait donner un répit à Téhéran pour solliciter l'aide de la communauté internationale, car elles estiment qu' Israël a besoin d'une « solution diplomatique », car on ne voit pas clairement quelle pourrait être sa stratégie à court terme dans cette vague d'attaques.

Bien qu'Israël ait endommagé plusieurs installations nucléaires et tué plusieurs scientifiques iraniens responsables du programme nucléaire, il n'a pas réussi à affecter substantiellement l'usine de Fordo, qui aurait besoin pour cela de la technologie américaine, dont il n'a pas encore besoin, selon les médias.

Capacité à étendre les attaques à Israël et à accélérer le programme nucléaire

Le message de Téhéran n'est pas seulement d'expliquer sa volonté de négocier, mais aussi d'avertir que l'Iran a la capacité de déployer des attaques contre Israël et d'accélérer son programme nucléaire si Washington ne voit pas la volonté de revenir à cette table de négociation.

Selon le journal, trois États arabes (l'Arabie saoudite, le Qatar et Oman) tentent de faire pression sur Washington pour que le gouvernement du président américain Donald Trump force Israël à mettre un terme à la guerre non déclarée, arguant qu'elle provoque une hausse inquiétante des prix du pétrole et qu'il existe un risque réel de propagation dans la région.

Plus d'informations sur la communauté internationale

Load more