Le comité d'entreprise de Villavesa annonce une manifestation le 5 juillet
La veille du début des sanfermines, le comité composé d'UGT, CCOO, ELA, LAB et ATTU a convoqué dans l'après-midi une mobilisation qui parcourra les rues de la capitale navarre pour participer à la "défense des travailleurs des transports publics".
En ce qui concerne la première journée, le comité a souligné "la détermination et l' ennui face à la négociation de la convention qui s'est achevée en 2023 "et a souligné que la grève s'est poursuivie" massivement ". La protestation a été soutenue par la majorité des travailleurs lors du référendum et la dernière proposition de la direction a été rejetée.
Les travailleurs demandent une réduction de la journée annuelle (non actualisée depuis 15 ans) afin, entre autres, de garantir le droit à la conciliation et de mettre à jour leur salaire avec l'IPC. A demande le recouvrement de 5,38 % du salaire perdu à la suite de la crise financière de 2008, l'amélioration du traitement des congés médicaux, l'augmentation des plus-values de nuit et de jours fériés et la limitation de la journée de travail.
La première journée de grève a entraîné des retards, les gens attendaient les marquises et les villaves à l'heure de pointe, mais l'inquiétude est de savoir ce qui se passera s'ils ne parviennent pas à un accord avant San Fermin. Les syndicats ont demandé à la direction de la société adjudicatrice Moventis TCC de prendre des mesures après quatre mois sans négociation.
A Pendant les quatre jours du txupinazo de Sanfermines, le Commonwealth de Pampelune servira de médiateur pour parvenir à un accord in extremis.
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