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La NASA découvre sur Mars d'éventuels signes de vie passée

Pour déterminer si la planète a jamais eu la vie, il sera essentiel d'apporter sur Terre les échantillons prélevés par le rover Persévérance et de les étudier en détail.

MADRID, 10/09/2025.- Desde 2020, el rover Perseverance recorre el cráter Jezero de Marte en busca de signos de vida antigua. En esta búsqueda, los científicos han descubierto unos raros nódulos de minerales cuya historia química sugiere que podrían haberse formado en procesos químicos prebióticos o microbianos, dos procesos relacionados con la vida. El rover de la NASA recogió las muestras el año pasado en una zona conocida como Neretva Vallis, donde hace 3.800 millones de años fluía un río que desembocaba en un lago situado en el actual cráter Jezero y en el que iba dejando sus sedimentos. EFE/NASA/JLP-caltech/msss SÓLO USO EDITORIAL/SÓLO DISPONIBLE PARA ILUSTRAR LA NOTICIA QUE ACOMPAÑA (CRÉDITO OBLIGATORIO)

Persévérance roverra, analyse du cratère Jezero de Mars, photo EFE/NASA

Depuis 2020, le rover Persévérance parcourt le cratère Jezero de Mars à la recherche de traces de vie ancienne. Dans cette étude, les scientifiques ont découvert des nodules rares de minéraux dont l'histoire chimique suggère qu'ils auraient pu être formés par des procédés chimiques prébiotiques ou microbiens, car ils sont tous deux des mécanismes directement liés à la vie.

Le rover de la NASA a prélevé l'année dernière des échantillons dans la région de Neretva Vallis, où, il y a 3,8 milliards d'années, une rivière a déposé des sédiments dans un lac situé dans l'actuel cratère de Jezero, où on a trouvé de petits nodules de minéraux argileux enrichis en phosphate de fer et en sulfure de fer, ainsi que des composés liés au carbone organique, qui pourraient se produire dans les réactions chimiques qui fondent la vie.

En outre, l'étude a confirmé que ces processus se sont produits à la suite de l'accumulation de sédiments dans le lac et dans des conditions de basse température, ce qui fait de ces « échantillons extraordinaires » une biosynthèse potentielle. Cependant, les chercheurs soulignent avec prudence que ces découvertes peuvent aussi être le résultat de processus géologiques abiotiques (non biologiques).

Conditions nécessaires à la vie

Sur terre, en Antarctique, dans le lac salé de Chott el Djeride, en Tunisie, ou dans les mines espagnoles du Riotinto, où les conditions de vie sont extrêmes, cela montre que la vie ne se déroule pas toujours dans des conditions « confortables », mais par de nombreux procédés chimiques.

Il y a 3,8 milliards d'années, Mars et la Terre étaient des planètes jeunes et similaires, toutes deux situées dans une zone habitable. Bien que la vie se soit développée sur notre planète, la fine atmosphère de Mars a entraîné la perte d'eau et de conditions optimales, transformant la planète en désert. Cependant, pendant des milliards d'années, la planète rouge a eu la présence et les conditions d'habitabilité de l'eau.

« C'est pourquoi nous avons soigneusement choisi les zones où Persévérance devait chercher les roches qui avaient été en contact avec l'eau », explique Felipe Gomez, chercheur au Centre d'astrophysique. Rover a prélevé des échantillons dans des zones appelées Bright Angel et Masonic Temple.

Gomez a expliqué que le rover a trouvé "de petites sphères reliées à de la boue rougeâtre" qui suggèrent qu'elles avaient du fer oxydé. Grâce aux outils SHERLOC et PIXL, les petits nodules phosphatés et le soufre ont été identifiés, le fer réduit et oxydé apparaissant à la fois, c'est-à-dire les principaux éléments des réactions chimiques sur lesquels repose la vie.

La température est également très importante pour la formation de la vie. "Nous avons vu que les nodules se sont formés à basse température, ce qui est indispensable car la génération de la vie n'est pas compatible avec les températures élevées", a précisé le chercheur.

Le défi d'apporter des échantillons sur Terre

Les auteurs demandent de la prudence : bien que les échantillons aient un fort potentiel astrophysique, ils peuvent être le résultat de processus abiotiques. "Ce n'est qu'en les analysant dans les laboratoires terrestres que nous pouvons déterminer s'ils sont le résultat d'un processus géologique ou s'ils sont liés à la vie microbienne", souligne José Antonio Manrique, chercheur à l'UVA et membre de l'équipe scientifique de la mission Mars 2020.

C'est pourquoi il est indispensable de transférer les échantillons sur Terre. Aujourd'hui, l'administration américaine envisage deux options : soit récupérer les échantillons avec un atterrisseur et les envoyer à bord d'un vaisseau de l'Agence spatiale européenne (ESA), soit les renvoyer par mission habitée de SpaceX. La décision sera prise à la fin de 2026.

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