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SALAIRE MINIMUM
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La majorité syndicale a recueilli plus de 100 000 signatures en faveur d'un salaire minimum propre et les portera au Parlement en août

Les syndicats ELA, LAB, ESK, Steilas, Hiru et Etxalde ont qualifié la campagne de « succès retentissant » et ont clôturé la collecte des signatures avant le délai fixé pour que « le Parlement basque exige le plus rapidement possible la compétence du salaire minimum ».

ELA, LAB, ESK, STEILAS, HIRU eta ETXALDE sindikatuetako ordezkariek 100.000 sinadura baino gehiago bildu dituzte
Conférence de presse des syndicats

Les syndicats ELA, LAB, ESK, Steilas, Etxalde et Hiru ont réuni plus de 100.000  signatures  en adhérant à l'initiative législative populaire qui "vise la compétence pour modifier le statut des travailleurs et établir un salaire minimum interprofessionnel propre au Pays Basque Sud ".

Des représentants des six syndicats ont tenu ce mercredi une conférence de presse à Bilbao, au cours de laquelle ils ont annoncé que la date limite pour la collecte des signatures était fixée à trois mois avant le délai juridique fixé, afin que "le Parlement basque demande la concurrence du salaire minimum dès que possible".  

Ils demandent également aux partis politiques\u00A0 de Navarre d'examiner une proposition de loi au sein de leur Parlement.

Les représentants syndicaux ont souligné que « trois mois ont suffi » pour dépasser le seuil des 100 000 signatures.  Inciativa a été «un succès retentissant » , car le personnel lui a « massivement » apporté son « soutien » et « a relevé le défi ».

\u00Lessignatures collectées seront présentées au Parlement basque le 21 août et, à partir de ce moment, le processus  entrera dans une nouvelle phase   . Selon les syndicats, les partis politiques "pourront passer des paroles aux actes". "Ils ont vraiment la volonté d'un salaire minimum plus décent", ils sont appelés à soutenir l'initiative. Si le Parlement basque le soutient, la proposition de modification législative parviendra au Congrès.

De même, les syndicats  critiquent l'attitude du Gouvernement basque et de Confebask ont.  

D'une part, ils estiment que le gouvernement basque "met en évidence la nécessité d'un salaire minimum propre", mais qu'il le fait "d'un point de vue restrictif", tant en ce qui concerne "la zone d'influence" qu'en ce qui concerne "le montant". D'autre part, ils ont dénoncé le fait que Confebask souhaite "porter ce débat à la table du dialogue social" sur des questions telles que "l'absentéisme". Les syndicats estiment que cette table ronde n'est pas le lieu de cette négociation et ont demandé au patronat de "mettre de côté les excuses et d'accepter la réalité syndicale de ce pays".

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