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BSH ferme son usine d'Eskirotz

Le fabricant d'appareils électroménagers a annoncé le 16 décembre dernier son intention de fermer l'usine d'Eskirotz et après des mois de négociations, il a informé les travailleurs ce lundi qu'il ne prolongerait pas le délai prévu, ignorant l'appel des travailleurs et du gouvernement.
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Usine BSH. Image archivée d'EFE

BSH a annoncé ce lundi la fermeture de son usine d'Ezkirotz. La direction internationale de BSH avait convoqué aujourd'hui une réunion avec le gouvernement de Navarre et le ministère de l'Industrie pour leur faire part de sa décision et les a informés lors du rendez-vous qu'elle ne prolongerait pas le délai de licenciement collectif en ignorant l'appel lancé par les travailleurs et le gouvernement. Le 16 juin, le fabricant d'appareils électroménagers, qui a également été l'une des grandes usines de Navarre, fermera ses portes.

La semaine prochaine, 665 personnes commenceront à négocier un dossier de réglementation de l'emploi.

La présidente du gouvernement de Navarre, Maria Chivite, et les conseillers Mikel Irujo et Carmen Maeztu se sont présentés dans la salle de presse du Palais de Navarre pour annoncer la fermeture. Chivite a fait part à la direction de BSH de sa ferme opposition à cette décision, qu'elle a qualifiée d '"erreur absolue" et a fait référence au "manque d'humanité" de l'entreprise.

Le président de la Navarre a annoncé qu'il contacterait le ministère de l'Industrie pour contacter les entreprises intéressées par le maintien de l'activité de l'usine.

Entre-temps, une délégation de la commission  Anrée à Rusela  da pour rencontrer mardi le commissaire à l'Industrie et le commissaire à l'Emploi pour leur faire part de la fermeture annoncée par BSH le 16 décembre et confirmée ce lundi.

Les travailleurs de l'usine de BSH à Eskirotz étaient en ERTE depuis plus de deux ans  BI. Auparavant, la société allemande avait fermé ses usines à Etxarri Aranatz et à Estella.

Le comité d'entreprise, à la recherche d '"alternatives viables"

À la suite de cette annonce, le comité d'entreprise d'Eskiroz a indiqué qu'il continuerait à travailler à la recherche d'une "alternative viable et réalisable".  Juanjo Hermoso  de Mendoza \u00Le président du comité a fait ces déclarations devant les médias alors qu'il était à l'aéroport de Barcelone.

Le président de la Commission estime que les licenciements auront lieu "pour des raisons organisationnelles et productives" et souligne que la période de consultation sur la fermeture était prévue pour le 17 juin.

Les ouvriers, prêts à se battre

Après avoir pris connaissance de la décision, les salariés ont tenu lundi matin   Assemblée. Ils reconnaissent que la décision n'a pas été une surprise et reconnaissent que le spectre du 16 décembre s'est finalement matérialisé.

Ainsi, ils ont annoncé qu'à partir de demain, ils se joindront à la grève et ont déclaré qu'il était temps d'être "ensemble", maintenant plus que jamais. En plus de la grève, ils ont expliqué qu'ils organiseraient des réunions quotidiennes. Ils ont parlé de "délocalisation claire" et ont appelé à la lutte.

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