Sanchez dit aux militants qu'il va continuer et dénonce une "agression morale"
Le secrétaire général du PSOE a déclaré que « le moment difficile que nous traversons ne doit pas nous faire perdre de vue » et c'est pourquoi le gouvernement progressiste continuera à avancer.
Pedro Sanchez, lundi, à la réunion du Comité exécutif du PSOE.
Le chef du gouvernement espagnol et secrétaire général du PSOE, Pedro Sánchez, a envoyé une lettre aux militants après que le secrétaire d' Etatà la Corruption, Santos Cerdán , eut présentésa démission à la suite d'une affaire de corruption et remis son acte de député. Selon le dirigeant socialiste, le gouvernement progressiste progresse et dénonce une "attaque morale" contre les socialistes. Il propose également un débat sur la corruption.
Dans une lettre adressée aux militants et diffusée sur les réseaux sociaux, Sanchez reconnaît qu'il partage "la douleur, la colère, le désespoir et la tristesse "qui règnent au sein du parti à la suite du procès qui l'a lié au recouvrement de commissions illégales dans les contrats de travaux publics de Cerdán.
Sanchez a reconnu que le fait que ceux qui ont eu des responsabilités "importantes" aient trahi la confiance du parti et des citoyens "fait du mal à tout le monde", mais il a estimé qu'il fallait tenir compte du fait que le parti socialiste, contrairement à d'autres, a agi "avec fermeté" dès le début et que ceux qui se disent confus ont quitté leurs fonctions.
Sanchez s' est une fois de plus excusé pour "l'affaire Cerdan" et a profité de l'occasion pour attaquer le PP. "Nous expulsons ceux qui échouent, d'autres les soutiennent", a-t-il ajouté.
D'autre part, M. Sanchez a insisté sur le fait qu'il n'avait eu connaissance du rapportde l'UCO que jeudi matin, ce qui, selon lui, montre que le gouvernement ne participe pas aux enquêtes judiciaires, preuve de la "santé démocratique" du pays.
Dans le même temps, il a critiqué le fait que le contenu de ce rapport ait été mis au service de la droite pour tenterde renverser un "gouvernement légitime".
Enfin, il a invité le PP et Vox à déposer une motion de censure contre lui s'ils mettent sur la table un projet de pays alternatif.
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