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ESPAGNE

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Maintenant que la Cour constitutionnelle a approuvé la loi d'amnistie ?

En principe, le mandat d'arrêt de Puigdemont et la déchéance de Junqueras sont maintenus, mais une fois que la Constitution aura rendu sa décision au Journal officiel de l'État, la Cour suprême devra revoir les casiers judiciaires des dirigeants indépendantistes.

Concentration à la fête de la Diada. Photo : EFE

L' arrêt du Tribunal constitutionnelqui protège la loi d'amnistie   obligera la Cour suprême à revoir les casiers judiciaires des condamnés pour le procès indépendantiste en Catalogne, mais le mandat d'arrêt de l'ancien président de la Generalitat Carles Puigdemont et la déchéance de l'ancien vice-président catalan Oriol Junnock resteront intacts.

Selon des sources juridiques, l'arrêt de la Cour constitutionnelle n'a aucune incidence sur les cas de ces deux dirigeants indépendantistes, les magistrats ayant conclu que l'amnistie ne pouvait s'appliquer au délit de détournement de fonds publics et à la lecture juridique de la règle elle-même.

Révision des antécédents

En revanche, les sources ont précisé qu'après la publication de la résolution par la Constitution au Journal officiel de l "État,  Gorena devra revoir les casiers judiciaires des dirigeants indépendantistes condamnés pour sédition en 2019 – Arme Forcadell, Joaquim Forn, Josep Rull, Jordi Sànchez, Jordi Cuixart – et des condamnés pour désobéissance – Carlos Mundo, Meritxell Borràs, Santiago Villarreal.

Selon ces sources, il en sera de même pour les autres tribunaux qui, s'ils ne l'ont pas encore fait, auront appliqué des peines pour les crimes visés par la loi d'amnistie.

Il convient toutefois de rappeler que, selon les données recueillies par le collectif d'avocats de la gauche indépendantiste Alerte Solidaire, la loi d'amnistie a été appliquée à au moins 367 personnes, ce qui a entraîné la suppression des casiers judiciaires.

Après l'arrêt de la Cour constitutionnelle, les procédures suspendues en raison de doutes devront également être relancées, selon les sources consultées.

Toutefois, tant la Cour suprême que la Cour supérieure de justice de Catalogne n'ont pas encore clarifié les doutes concrets soulevés par la Constitution et, selon les sources, ces doutes ne seront pas examinés avant l'été.

Le retour de Puigdemont semble difficile.

Dans le casde Puigdemont et de Junqueras, le Suprême a clairement indiqué qu'il n'en doutait pas. La Cour a rejeté l'application de la règle à tous les deux à la suite d'une lecture du délit de détournement de fonds publics et du préjudice présumé causé aux intérêts financiers et économiques de l'UE. En particulier, les juges du Suprême considèrent que le détournement de fonds publics est l'une des exceptions prévues par la loi elle-même pour ne pas l'appliquer, "parce qu'ils ont obtenu un avantage personnel".

En conséquence, des sources juridiques consultées avancent que, même avec le soutien de la Cour constitutionnelle à l'amnistie, le Suprême maintiendra les mandats d'arrêt de Puigdemont et des exconsellers catalans Toni Comín et Lluís Puig, ainsi que les peines d'interdiction jusqu'en 2031 de l'ancien vice-président de la Generalitat Oriol Junnock et des autres condamnés.

Comme on peut s'attendre à ce que les dirigeants indépendantistes se battent au Suprême pour faire valoir un éventuel jugement favorable à la Constitution, la Cour suprême a laissé la porte ouverte dans plusieurs décisions au moment opportun à la présentation d'une question préjudicielle devant la Cour de justice de l'UE.

GRAFCAT9829 BARCELONA 26/06/2025.- El secretario general de JxCat, Jordi Turull durante la rueda de prensa ofrecida hoy, en la que valoró la decisión del Tribunal Constitucional con respecto a la Ley de Amnistía. EFE/ Marta Perez.

L'indépendantisme demande que le Suprême applique la loi

Ainsi, le secrétaire général de JxCat  , Jordi Turull, a demandé aujourd'hui à la Constitution d'utiliser ses "mécanismes coercitifs" pour obliger les dirigeants indépendantistes à appliquer la loi d'amnistie.

En effet, il a déclaré que, si cet arrêt "n'a pas d'effet pratique", "ce serait une preuve supplémentaire que l'Espagne n'est ni un État de droit ni une démocratie tout entière".

De même, le député de l' ERCau Parlament et ancien conseller d'Interior, Joan Ignasi Elena, a qualifié la décision de la Constitution de "grand succès de l'indépendantisme" et a demandé au Suprême de l'appliquer.

Elena a indiqué qu'elle étudierait la possibilité de « présenter une lettre à la Cour suprême demandant l'application de la loi d'amnistie en tenant compte de la nouvelle réalité », en se demandant si ERC ferait un pas de plus devant l'arrêt de la Constitution.

Le député républicain a assuré qu'après le soutien de la Constitution, "il faut maintenant le respecter, il appartient à tout le monde d'appliquer la loi d'amnistie et de mettre fin à ce calvaire".

Dans le même sens, leprésident d'Antich Òmnium Cultural, Xavier  , a déclaré que « les excuses sont terminées » pour appliquer la loi d'amnistie « dans tous les cas ».

"Tant que les conflits politiques seront exilés, que la répression politique contre les indépendantistes se poursuivra et que la Catalogne ne pourra pas décider démocratiquement de son avenir", a-t-il averti.

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