Le Congrès rejette la proposition de loi adoptée par Junts et le PSOE pour déléguer la compétence migratoire au Gouvernement
Nous pouvons voter contre le texte de loi avec le PP et Vox, qu'ils considèrent "raciste". Deux députés d'Sumar se sont joints à eux, brisant la discipline de vote. La porte-parole de Junts, Miriam Nogueras, a critiqué l'extrême droite et l'extrême gauche contre la Catalogne.
Hier, le Congrès des députés a rejeté la propositionde loi adoptée par Junts et le PSOE pour déléguer la compétence migratoire au Gouvernement de Catalogne.
Nous pouvons voter contre le texte de loi, avec le PP et Vox, en le considérant comme "raciste", auquel se sont joints deux députés d'Sumar qui ont rompu la discipline de vote. Dans ce contexte, la porte-parole de Junts, Miriam Nogueras, a critiqué l'extrême droite et l'extrême gauche qui s'opposent à la Catalogne.
Comme nous l'avons dit, il n'y a finalement pas eu de surprise — 177 voix contre 173 — et la proposition de loi ne suivra pas son cours au Congrès. Selon PP et Vox, le transfert de la compétence migratoire à la Generalitat est inconstitutionnel et Podemos considère le texte comme "raciste".
Par ailleurs, les partis qui ont fait la proposition - PSOE et Junts - et les partenaires habituels du gouvernement de coalition ont voté pour : Sumar - à l'exception de deux députés - ERC, EH Bildu, PNV, BNG, Coalition Canaria et Compromís.
La proposition visait, entre autres, à déléguer à la Catalogne le traitement des permis de séjour pour étrangers, la gestion intégrale des centres de rétention des étrangers et la gestion de la sécurité des ports et aéroports par les Mossos d'Esquadra, en collaboration avec la police et la Garde civile.
Plus d'informations sur la politique
Otxandiano : "Nous ne sommes pas là pour condamner a posteriori, nous sommes là pour prendre des décisions et empêcher les faits"
En ce qui concerne les déclarations du conseiller à la sécurité, Bingen Zupiria, concernant les incidents survenus le 12 octobre à Vitoria-Gasteiz, le porte-parole de EH Bildu au parlement basque a qualifié d '"intolérable" et d' "énorme erreur politique" l '"équidistance" de qualifier de fascistes les comportements de l'un et de l'autre parti.
Le gouvernement basque approuve un plan d'aide à la récupération de Gaza
Outre les soins de santé, le plan prévoit une aide aux ONG locales avec un budget de 1,2 million d'euros.
Le maire d'Altsasu dénonce avoir reçu des menaces de la Falange
Un message adressé à Javier Ollo a été reçu à la mairie de la commune de Navarre, avertissant que "la Falange est en vue".
Le gouvernement espagnol lance une réforme constitutionnelle pour protéger le droit à l'avortement
Le gouvernement devra obtenir le soutien du PP pour la réforme constitutionnelle. En outre, il demandera à trois communautés autonomes gouvernées par le PP de créer des registres d'objecteurs de conscience pour l'application de la loi.
Le président du bureau de recrutement de Belate nie la corruption, du moins en ce qui le concerne
Jesus Polo a été le premier à se prononcer au sein de la commission d'enquête du Parlement de Navarre sur les appels d'offres de travaux publics.
Sanchez maintient l'embargo sur les armes à Israël et dit que l'Espagne est prête à envoyer des troupes de paix à Gaza
Le Président du Gouvernement espagnol demande la poursuite des poursuites engagées contre les auteurs du génocide à Gaza
Bingen Zupiria : "L'analyse des images montre clairement qu'il y a quelque chose d'organisé derrière"
En ce qui concerne les incidents survenus le 12 octobre à Vitoria-Gasteiz, le Conseiller à la Sécurité du Gouvernement Basque a indiqué que l'Ertzaintza "analysera ces comportements et leur donnera une réponse adéquate". Il a également jugé inacceptables les "discours antifascistes" qui "justifient le recours à la violence".
Les partis qualifient les incidents de Gasteiz d '"inacceptables" et le syndicat Erne demande la "cessation immédiate" du chef de l'Ertzaintza
EH Bildu a demandé des comptes au gouvernement basque pour un événement "qui n'aurait jamais dû avoir lieu".
Libération des 19 détenus dimanche à Vitoria-Gasteiz pour les émeutes qui ont suivi l'acte de la Falange
Les détenus étaient accusés d'un délit de troubles publics pour avoir lancé des pierres et divers matériels contre des agents du dispositif de sécurité.
Le gouvernement basque condamne les incidents survenus à Gasteiz : "Ce sont des faits très graves qui violent la cohabitation"
La maire de Vitoria-Gasteiz, Maider Etxebarria, la députée du PP, Ainhoa Domaica, et les syndicats SiPE, Euspel et ESAN ont également exprimé leur condamnation la plus ferme de ce qui s'est passé dans la capitale alavaise, où 19 personnes ont été arrêtées et 19 ertzainas blessés.