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Abalos va témoigner aujourd'hui devant le juge

Le juge examinera son état de liberté après avoir entendu les explications de l'ancien ministre : un rapport a révélé des paiements de 95 437 euros et une série de paiements en espèces effectués par le PSOE, et il devra rendre compte des incidents à ce sujet.

Ouvrez-les dans une image archivée. Photo : EFE

L'ancien ministre du gouvernement espagnol José Luis Ábalos est convoqué aujourd'hui pour témoigner devant le juge Leopoldo Puente, qui examinera sa situation de liberté après avoir entendu ses explications sur un rapport dans lequel il constatait qu'il n'avait pas déclaré 95 437 euros de revenus.

Il comparaîtra dans un contexte inhabituel car, sauf surprise de dernière minute, il sera accompagné par son avocat, José Anibal Alvarez, qui a démissionné lundi de ses services en raison de "différences irréalisables", situation que le magistrat n'a pas acceptée car il considère comme une "fraude de loi".

L'avocat a confirmé qu'il se rendrait au Suprême et qu'il se conformerait aux ordres du magistrat, qui avait reproché cette manœuvre d'Abalos, estimant qu'il s'agissait d'une tentative de forcer le rendez-vous et la suspension de la vistille.

Personne ne sait ce qu'il va déclarer, et on ne sait pas s'il répondra aux questions du juge et du procureur ou s'il conservera son droit de ne pas témoigner, mais lors des précédentes audiences, il a répondu au magistrat et à l'avocat.

En tout état de cause, il sera essentiel de procéder à une révision ultérieure des mesures conservatoires. Il prévoit actuellement le retrait du passeport, l'interdiction de quitter le pays et les comparutions devant le tribunal.

Ainsi, Ábalos joue son incarcération, une requête qui a été demandée pour la dernière fois par les accusations populaires et qui sera examinée par le ministère public en fonction de la manière dont se déroule le rendez-vous.

Puente a appelé l'ancien ministre pour la quatrième fois, cette fois après le rapport de l'UCO, dans lequel il a constaté des dépenses de 95 437 euros provenant de "recettes non déclarées", ainsi que des paiements en espèces du PSOE qui ne correspondent pas aux documents transmis par ce parti à la Cour suprême.

L'ancien dirigeant socialiste fait l'objet d'une enquête pour commissions présumées dans les adjudications de contrats de masques en pleine pandémie, et dans une autre branche de l'affaire qui touche également son successeur, Santos Cerdán, pour des morsures présumées dans les contrats de travaux publics alors qu'il était à la tête du ministère des Transports.

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