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Esteban, à Sanchez : "Arrêter les scandales ou convoquer des élections"

Le président de l'EBB a pris la parole à la fin de la IXe Assemblée générale du PNV. Le dirigeant jeltzale a estimé que le président du gouvernement espagnol n'avait "d'autre choix" que de convoquer des élections.
VITORIA, 13/12/2025.- El presidente del PNV, Aitor Esteban, interviene este sábado en Vitoria en la tercera sesión de la IX Asamblea General del partido, en la que se aprueba la propuesta de reforma de los estatutos. EFE/L. Rico
Esteban, IX. À l'assemblée générale. Photo : EFE

Le président de l'EBB du PNV, Aitor Esteban, a mis en difficulté aujourd'hui le président socialiste du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez . Le dirigeant jeltzale a estimé que "cette avalanche de scandales est inquiétante et décourageante ".   aA0n quelques mois, Esteban a parlé des cas présumés de corruption au sein du PSOE et de l'attitude machiste des hauts responsables  La question des conséquences qu'elle a eues tant au sein du gouvernement que de la législature. \u00Il a averti Sanchez qu'il était temps de choisir entre "mettre finà la saignée ou convoquer des élections ".

Le PNV a tenu la dernière session de la IXe Assemblée générale à Vitoria-Gasteiz. Lors dela réunion, les Jeltzals ont approuvé les nouveaux statuts du parti. À la fin de l'Assemblée, le président du PNV a donné une conférence au cours de laquelle il a longuement parlé de la gouvernance de l'exécutif espagnol.  

Esteban a souligné que les scandales avec le PSOE ont aggravé "la fatigue et le climat agité de la législature" et que cette "avalanche de scandales" est "inquiétante et décourageante". "Si nous associons à cela l'impossibilité de retirer les budgets et le" non "permanent au Congrès, à l'exception d'une loi adoptée de temps en temps par le vote croisé, nous pouvons dire que la législature n'a pas l'air bien", a-t-il souligné.

Ainsi, il a lancé un appel à Sanchez : "Si le PSOE ne freine pas le flux d'informations quotidiennes, le président espagnol devra se demander sérieusement quand il convoquera des élections. (...) Soit on arrête le saignement, soiton convoque des élections. Et non pas parce que nous disons ou parce que les autres diront. Mais parce qu'il n'y a pas d'autre choix. Il peut durer quelques mois, mais pas un an et demi : ce n'est pas sérieux. "  

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