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La Députation d'Alava lance un dossier sanctionnant l'association organisatrice des camps de Bernedo

Le Conseil Municipal a engagé une procédure de sanction contre l'Association Udaleku Basque Sarrea pour "manquement à deux obligations" de la réglementation : \u00Ne pas informer le département compétent et ne pas transmettre à la Députation les documents requis. \u00Jusqu'à présent, 21 plaintes ont été déposées de la part des familles des mineurs qui ont participé à ces colonies pour des délits d'agression sexuelle et d'exhibitionnisme.  

Bernedoko udalekuak colonias de Bernedo
Image archivée des colonies de Bernedo. Photo : Maintenant

La Députation Forale d'Álava a ouvert un dossier sanctionnant  l'Association Udaleku Vasca Sarrea, organisatrice des camps de Bernedo (Araba), contre laquelle 21 plaintes ont été déposées jusqu'à présent pour agressions sexuelles, exhibitionnisme et contrainte à l'égard des mineurs qui y participaient.

C'est ce qu'a affirmé le député général d'Álava, Ramiro Gonzalez, lors d'une audition ce lundi aux assemblées générales d'Alava, à la demande du parti populaire.

Gonzalez a annoncé que l'institution forale avait ouvert un dossier sanctionnant l'association après avoir mis en évidence « deux manquements graves aux obligations » de la réglementation.


     
Premièrement, le non-respect de l'obligation de communication préalable de l'activité au département compétent de la Députation Foral d'Álava et, deuxièmement, le non-respect de l'obligation de faciliter les fonctions d'inspection de l'administration compétente, c'est-à-dire de fournir les documents qui lui ont été demandés et qui "ne lui ont pas répondu". Ce dossier sera soumis au traitement administratif correspondant.

Activité non inscrite au Conseil Municipal d'Alava

Ramiro Gonzalez a expliqué que depuis que la Députation Foral a eu connaissance des colonies le 15 septembre, par un courrier envoyé par une mère, "l'activité n'a jamais été inscrite à la Députation Foral d'Álava ni communiquée au Département de la Jeunesse", de sorte que "l'activité était inconnue ".



Il note également que « dès le début, la priorité du Département a été de s'occuper des familles, de connaître directement la situation créée dans le camp de Bernedo et de répondre de manière responsable par les institutions » et de « transmettre au Bureau du Procureur toute la documentation administrative recueillie sur l'affaire ».

« Il y a eu préoccupation, implication et activité  et cela s'est fait le plus rapidement possible, toujours dans l'intérêt supérieur des mineurs », a-t-il défendu.

Gonzalez a expliqué que « pendant des années, il y a eu des colonies et des pratiques totalement inacceptables qui, dans certains cas et vu les faits que nous avons connus, peuvent constituer un délit». "Ces camps n'auraient pas dû se faire ainsi, selon les accusations des familles", a-t-il ajouté.

C'est pourquoi Gonzalez a plaidé pour "enquêter jusqu'au bout" et "agir avec la plus grande transparence" afin de "transmettre toutes les informations à l'opinion publique" et de "porter à la connaissance des tribunaux toute situation dans laquelle tout indice de délit pourrait être détecté", comme l'a fait la Députation.

Table interinstitutions

Par ailleurs, le député général d'Araba a souligné la création d'une table ronde entre les trois conseils forains, Eudel et le gouvernement basque pour "améliorer les mécanismes de coordination et de contrôle" en matière d'activités privées de loisirs, de promenades itinérantes, de camps et d'auberges.

À cet égard, il a indiqué que "lanécessité prioritaire de développer de manière réglementaire certains points de la Loi Basque de la Jeunesse ", tels que les communications préalables, les déclarations responsables, les services et installations et le régime disciplinaire, a été identifiée.

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